Bye bye Vérone, et en route pour d'autres aventures. Deuxième passage de frontière vers la Slovénie sur laquelle, il faut le dire, nous n'avions aucun apriori.
C'est parti pour une visite de Koper, seule ville portuaire du pays, les Slovènes essayant tant bien que mal de négocier chaque kilomètre de côte avec les Italiens et les Croates. Côté port, la vue paraît plus industrielle que typique de l'Adriatique. Côté ville, on a finalement rapidement fait le tour des petites rues qui constituent le centre-ville. En bref, une ville où on a apprécié passer une après-midi, mais qui fait pâle figure à côté de la Vérone dynamique et grandiose que nous venons de quitter.
Qu'imagineriez-vous si on vous disait que ce soir, vous allez dormir chez Dalibor ? Un grand chef Huns à cornes ? Un terrible guerrier Mongol ? Une créature mi-homme, mi-ours génétiquement modifiée ? Nous aussi. Finalement, Dalibor était un super hôte toujours dispo pour nous conseiller moult périples pas loin. Tant mieux, on avait l'impression d'avoir fait le tour de la ville et on cherchait du neuf.
C'est parti pour une visite de Koper, seule ville portuaire du pays, les Slovènes essayant tant bien que mal de négocier chaque kilomètre de côte avec les Italiens et les Croates. Côté port, la vue paraît plus industrielle que typique de l'Adriatique. Côté ville, on a finalement rapidement fait le tour des petites rues qui constituent le centre-ville. En bref, une ville où on a apprécié passer une après-midi, mais qui fait pâle figure à côté de la Vérone dynamique et grandiose que nous venons de quitter.
Qu'imagineriez-vous si on vous disait que ce soir, vous allez dormir chez Dalibor ? Un grand chef Huns à cornes ? Un terrible guerrier Mongol ? Une créature mi-homme, mi-ours génétiquement modifiée ? Nous aussi. Finalement, Dalibor était un super hôte toujours dispo pour nous conseiller moult périples pas loin. Tant mieux, on avait l'impression d'avoir fait le tour de la ville et on cherchait du neuf.
C'est donc sur ses conseils que nous nous sommes dirigés vers Piran le lendemain, où la côte côtoie les hauteurs des terres slovènes. L'occasion pour nous de découvrir qu'hormis des cargos et des containaires, la Slovénie sait aussi proposer de superbes panoramas sur l'Adriatique (où Marjo a promis de se tremper les pieds avant la fin du voyage). Un plat de fruits de mer pour se requinquer et en route pour les marais salants de Sečovlje (je vous laisse le soin de le prononcer à votre convenance) où nous attendent une bonne balade, de beaux paysages atypiques et un musée. Le ciel se grise, on sait que le beau temps est sur le point de nous quitter, alors on profite même si le vent décoiffe.
Avant de quitter la Slovénie le lendemain, on profite de la soirée pour fêter la Saint Martin en buvant la boisson proposée par le plus grand producteur de vin local. Il s'agit de vin jeune pas encore assez fermenté pour être mis en bouteille et qu'on nous a servit dans des gobelets en plastique, à la bonne franquette, en écoutant du rock'n'roll slovène. Une petite fête de village qui nous a rappelé des souvenirs.
C'est déjà l'heure de dire aurevoir aux Slovènes et à leur petit bout de terre qui sépare l'Italie de la Croatie. Promis, on reviendra pour visiter plus longuement l'intérieur des terres.
Antoine
Avant de quitter la Slovénie le lendemain, on profite de la soirée pour fêter la Saint Martin en buvant la boisson proposée par le plus grand producteur de vin local. Il s'agit de vin jeune pas encore assez fermenté pour être mis en bouteille et qu'on nous a servit dans des gobelets en plastique, à la bonne franquette, en écoutant du rock'n'roll slovène. Une petite fête de village qui nous a rappelé des souvenirs.
C'est déjà l'heure de dire aurevoir aux Slovènes et à leur petit bout de terre qui sépare l'Italie de la Croatie. Promis, on reviendra pour visiter plus longuement l'intérieur des terres.
Antoine