Prochaine étape (et pas des moindres !): Vérone!
Il faut avouer qu'on a choisi cette ville un peu par défaut: elle est sur le chemin entre Aoste et la Slovénie. Les guides touristiques disent que c'est une ville sur le déclin... bref, on s'attend pas au coup de coeur. Et pourtant! Pour moi c'est une petite histoire d'amour !
Mais d'abord, laissez moi vous conter ce qu'il s'est passé entre Aoste et Vérone. Le départ d'Aoste a été pour nous assez difficile. Je pense qu'on pourra trouver des hôtes à la hauteur de Cristiana et de sa fille mais on ne trouvera jamais mieux. Le coeur sur la main. C'était une de ces rencontres qui vous font penser que la nature humaine est profondément belle. Merci, merci, grazie mille... encore et encore, au risque de se répéter.
Sur la route, chateaux centenaires dressant leurs silhouettes, villages à l'architecture typique et ... stations essences! Notre première expérience italienne pour nourir Pétro ! Et la: SURPRISE ! Avant de se servir, il faut choisir si on va prendre pour 5€ ou 20€. Vu le prix de l'essence dans les parages ça ne fait pas beaucoup de litres... Autant vous dire que pour notre carrosse, c'est comme manger une cacahouète à la place d'un festin ! Bref, les 8 litres avalés, on est repartis!
Petite étape au lac de Garde, qui malgré le grand soleil et les températures estivales fait son timide derrière ses brumes... Mônsieur de Gârde se fait désireeeeer. Qu'à cela ne tienne, on visitera le chateau. Comme toujours, on en prend plein les mirettes !
Enfin, enfin, enfin, nous arrivons à Vérone! De nuit, la ville nous semble assez austère. Enfin ME semble. Antoine reste toujours positif malgré son genou en vrac. Notre hôte nous accueille sans aucun effort dans un italien très rapide qui me réveille deux douleurs: mes cours d'italien oubliés et le bonheur d'avoir des parfaites hôtes... Le temps de poser bagages, c'est déjà l'heure de manger! Direction le centre ville ou, SURPRISE (et oui, encore!) l'animation est à son comble. Certe on est samedi soir mais c'est bien loin de l'image de "ville sur le déclin". Nous élisons nos quartiers dans un petit bar à vin: entre rouge local et jambon à 20 mois de maturation, nos papilles sont à l'honneur. Nous finissons dans une petite cantine pour déguster de vraies pâtes carbo. Au milieu de tout ça, nous avons complètement oublié que cette journée célébrait nos deux ans de calins!
Il faut avouer qu'on a choisi cette ville un peu par défaut: elle est sur le chemin entre Aoste et la Slovénie. Les guides touristiques disent que c'est une ville sur le déclin... bref, on s'attend pas au coup de coeur. Et pourtant! Pour moi c'est une petite histoire d'amour !
Mais d'abord, laissez moi vous conter ce qu'il s'est passé entre Aoste et Vérone. Le départ d'Aoste a été pour nous assez difficile. Je pense qu'on pourra trouver des hôtes à la hauteur de Cristiana et de sa fille mais on ne trouvera jamais mieux. Le coeur sur la main. C'était une de ces rencontres qui vous font penser que la nature humaine est profondément belle. Merci, merci, grazie mille... encore et encore, au risque de se répéter.
Sur la route, chateaux centenaires dressant leurs silhouettes, villages à l'architecture typique et ... stations essences! Notre première expérience italienne pour nourir Pétro ! Et la: SURPRISE ! Avant de se servir, il faut choisir si on va prendre pour 5€ ou 20€. Vu le prix de l'essence dans les parages ça ne fait pas beaucoup de litres... Autant vous dire que pour notre carrosse, c'est comme manger une cacahouète à la place d'un festin ! Bref, les 8 litres avalés, on est repartis!
Petite étape au lac de Garde, qui malgré le grand soleil et les températures estivales fait son timide derrière ses brumes... Mônsieur de Gârde se fait désireeeeer. Qu'à cela ne tienne, on visitera le chateau. Comme toujours, on en prend plein les mirettes !
Enfin, enfin, enfin, nous arrivons à Vérone! De nuit, la ville nous semble assez austère. Enfin ME semble. Antoine reste toujours positif malgré son genou en vrac. Notre hôte nous accueille sans aucun effort dans un italien très rapide qui me réveille deux douleurs: mes cours d'italien oubliés et le bonheur d'avoir des parfaites hôtes... Le temps de poser bagages, c'est déjà l'heure de manger! Direction le centre ville ou, SURPRISE (et oui, encore!) l'animation est à son comble. Certe on est samedi soir mais c'est bien loin de l'image de "ville sur le déclin". Nous élisons nos quartiers dans un petit bar à vin: entre rouge local et jambon à 20 mois de maturation, nos papilles sont à l'honneur. Nous finissons dans une petite cantine pour déguster de vraies pâtes carbo. Au milieu de tout ça, nous avons complètement oublié que cette journée célébrait nos deux ans de calins!
Aujourd'hui dimanche, nous délaissons la gastronomie pour l'histoire et l'architecture. Vérone regorge de richesses. Coup de chance, le premier dimanche du mois la plupart des principaux monuments sont accessibles pour 1€ seulement! On s'en donne à coeur joie: palais, arènes, maison de Juliette... car ici, on ne peut pas l'oublier: c'est la ville des amants maudits. Même si Roméo et Juliette n'ont pas réellement existé, la ville les fait vivre! On rêve un peu.
Vérone incarne pour moi la vraie Dolce Vita: on se laisse guider par les envies, le pif en l'air, profitant de ce qui nous entoure (toujours sous le soleil). Le dépaysement est total, les montres restent à l'hotel, le moment est parfait. Seul bémol: les touristes se croyant autorisés à tout et, sous pretexte d'être dans la ville des amoureux, écrivent leurs noms partout.
Demain, nouvelle frontière, direction la Slovénie !
Buonanotte bambini !
Marjo
Ps: la bande son de cet article; c'est par ici
Vérone incarne pour moi la vraie Dolce Vita: on se laisse guider par les envies, le pif en l'air, profitant de ce qui nous entoure (toujours sous le soleil). Le dépaysement est total, les montres restent à l'hotel, le moment est parfait. Seul bémol: les touristes se croyant autorisés à tout et, sous pretexte d'être dans la ville des amoureux, écrivent leurs noms partout.
Demain, nouvelle frontière, direction la Slovénie !
Buonanotte bambini !
Marjo
Ps: la bande son de cet article; c'est par ici